Logiciels prédétenues: sur quoi se baser lors de l'achat?

Vous souhaitez acheter un logiciel prédétenu sans aucun soucis? De plus en plus d’entreprises (PME) découvrent cette possibilité. De plus, avec leurs licences Microsoft d’occasion, ils économisent plus de 50% sur leurs dépenses.

En effet, une licence Microsoft utilisée est beaucoup moins chère, tout en étant toujours aussi excellente pour une utilisation professionnelle. Nous sommes heureux de vous aider à faire le bon choix, en citant quelques points à surveiller lors de l’achat.

Choisissez la bonne licence en volume

Vous pensez à une licence en volume pour votre PME? Les licences OLP sont alors probablement les plus adaptées. En effectuant ce choix, vous optez donc pour le programme de licence ouvert avec lequel vous pouvez utiliser les licences pour toujours, avec leurs plus gros avantage : l’évolutivité. Afin de pouvoir utiliser cette licence ouverte, l’achat doit s’effectuer pour un minimum de 5 unités de licences des produits Microsoft lors de la première commande. Le nombre de licences qui vous seront nécessaires dépend du nombre d’employés qui les utiliseront.

Dans un premier temps, portez une attention particulière aux fonctionnalités du logiciel. Par exemple, une licence SNGL signifie Single Language et indique que vous pouvez installer le logiciel dans une langue unique. La portée des logiciels d’occasion est exactement la même que pour les nouveaux logiciels. En d’autres termes: la portée de la licence du logiciel est limitée aux conditions de licence du propriétaire du logiciel. Dans un second temps, sachez que le seul inconvénient des logiciels Microsoft de seconde main est qu’ils ne peuvent pas être inclus dans le VLSC (Volume Licensing Service Center) de Microsoft. Cependant, l’enregistrement de la licence dans le VLSC n’est ni nécessaire, ni obligatoire. Cela peut être utile seulement si le VLSC constitue une sorte de portail de gestion pour vos licences.

Pour en savoir plus sur les différences entre les licences de détail et les licences en volume, cliquez ici.

Adapté aux audits et enquêtes

Le logiciel n’est pas un produit physique vendu comme des voitures ou des ordinateurs. Le logiciel est une propriété intellectuelle et protégé par le droit d’auteur. La personne ayant droit à un logiciel autorise les autres à l’utiliser grâce à la licence. Le contenu et la portée d’une licence sont à votre libre choix, mais dans la pratique, nous travaillons souvent avec quelques formulaires standard. Un exemple bien connu est le CLUF ou Contrat de licence utilisateur final: une licence qui permet une utilisation à des fins internes, mais pas la revente. Un autre exemple est la licence OEM, sous laquelle vous pouvez regrouper des logiciels avec un ordinateur et les vendre ensemble.

De nombreuses licences de logiciels standard stipulent que, après paiement d’un montant unique, le logiciel peut en principe être utilisé pour toujours. Dans son arrêt C-128/11, la plus haute juridiction européenne, la Cour de justice européenne, a jugé que de telles licences constituaient une “vente” du logiciel. Cela signifie que vous pouvez revendre ces licences à des tiers, en d’autres termes, les licences d’occasion sont légales.

Exigences pour les licences d'occasion

Pour être admissible à la vente, une licence doit répondre à un certain nombre d'exigences:

la licence du logiciel a été introduite dans le commerce de l'un des pays de l'Union européenne avec l'autorisation du propriétaire du logiciel;
la licence du logiciel a été obtenue pour une durée indéterminée;
aucun autre frais n'est dû pour l'utilisation de la licence du logiciel;
la licence du logiciel n'est pas utilisée au moment de la livraison;
la licence du logiciel n'est pas fractionnée ou autrement incomplète.

Dispositions contractuelles

Un titulaire du droit d’auteur peut bien entendu inclure dans ses contrats de licence que la revente n’est pas valable. Quelle que soit la formulation, cela n’est pas contraignant si les exigences ci-dessus sont remplies, selon la Cour de Justice de l’Union Européenne. Il n’est pas prévu que le droit légal d’épuisement soit bloqué par des dispositions contractuelles créatives.

Nous avons beaucoup d’expérience avec d’autres clients qui ont acheté une licence Microsoft de seconde main. Et qui a ensuite eu des audits, qui ont en effet montré que le logiciel pouvait être utilisé sans problème. En conséquence, nous sommes en bonne position pour bien vous conseiller afin que vous n’ayez pas à vous soucier après l’achat d’un logiciel d’occasion.

Acheter un logiciel d'occasion valide

Enfin, il est essentiel d’acheter un logiciel d’occasion 100% valide. Pour une licence Microsoft d’occasion il faut que vous puissiez l’utiliser, comme vous le feriez avec un nouveau logiciel. Nous nous assurons que cela soit le cas, en vous conseillant ou en faisant vous-même un choix parmi les licences que nous pouvons vous proposer à l’achat. Cette étape peut s’effectuer tout simplement en ligne, où vous avez également la possibilité de vendre des licences ou de devenir revendeur.

Pour conclure, nous sommes heureux d’être le spécialiste en licences logiciels prédétenues, autrement dit d’occasion, qui est capable de vous conseiller et vous aider dans le processus d’achat de ce type de licences. Notamment, parce que un bon logiciel d’occasion, par exemple de Microsoft, est beaucoup moins coûteux en comparaison avec l’achat d’une licence neuve. Cela signifie que vous pouvez facilement économiser sur vos dépenses, à condition de savoir comment bien le faire. C’est pour cela que nous sommes là pour vous garantir un Microsoft d’occasion valide.

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